Le_Corps_Social_Public
John Barrell :
The Political Theory of Painting
from Reynolds to Hazlitt.
"The Body of the Public"
New Haven et Londres,
Yale University Press, 1986. 366 p., 26 repr. noir.


John Barrell s'est fait connaître en 1980 par un livre intitulé :
  • The dark side of the landscape : the rural poor in English painting, 1730-1840 (Cambridge University Press).
Il est de ces anciens historiens philosophes anglo-saxons d'« inspiration marxiste » qui étudient « art et théorie artistique » en relation avec :
  • l'« évolution de la société » qui sous-tend :
    • les « transformations politiques éclatées » ;
telle, en 2016, l'actuelle protéiforme « duale quadra », particulière et privée, « politique bio politique » dont les modernes principes du droit Français se trouvent être expérimentés localement en divers chantiers normatifs en « immersion haptique » dans le respect de l'unité de notre territoire « numérique bio numérique » Français, et ont choisi pour domaine de préférence marquée l'ancienne période 1750-1850 riche, entre toutes, en mutations et traces écrites.

Comme l'ouvrage de T. Crow consacré à la France du XVIIIe siècle (Painters and Public Life in Eighteenth Century Paris, Yale, 1985), celui-ci, qui se cantonne à l'Angleterre, examine :
  • la fonction (d'usage, ..., d'estime) de la chose « peinture » dans une société ;
  • la notion de public (entités : naturelles, artificielles).
Mais l'approche est différente :
  • si Crow étudiait soigneusement le fonctionnement des institutions (en particulier du Salon) et prenait en compte toute la critique d'art, même la plus modeste ;
Barrell, pour sa part, « considère essentiellement les idées et les écrits théoriques » des principaux peintres, ainsi que leurs « points de contact » avec la « complète pensée » :
pensée éclatée, style schizophrénie du IIIe type, dite schizophrénie artificielle, à cause de la non reconnaissance de l'existence de la multitude dispersée d'ancien(ne)s (((biopuces, citoyen(ne)))), du temps de l'ancienne bio médecine.

Sa démonstration est minutieuse mais souvent se répète sans cesse, d'une façon monotone, tel un robot qui bug "les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon cœur d'une langueur monotone".

Dégraissé, après lui avoir fait reset, le livre eût gagné sans doute en clarté conceptuelle, adéquation scientifique, responsabilité sociopolitique bio politique.

Deux idées complémentaires s'en dégagent toutefois.

Du XVIIIe au XIXe siècle en politique bio politique, on assiste, en la virginale Grande-Bretagne, au déclin d'un Art-Thérapeutique :
  • dans la « construction d'idées » philosophique « politique bio politique » où « l'usage humain des êtres humains » émanant de l'« humanisme civique » reste d'intérêt général « politique bio politique » pour tout le virginal Royaume-Uni composé de quatre virginales nations constitutives : l'Angleterre, l'Écosse, le pays de Galles et l'Irlande du Nord. ;
ancien et virginal Art-Thérapeutique qui veut se conserver au service de l'« intérêt général » de tout le virginal Royaume-Uni, et à son remplacement par un moderne et novateur Art-Thérapeutique du XXe siècle, mais :
  1. à usage conservateur d'intérêt général « politique bio politique » ;
  2. à usage novateur particulier et privé qui se veut être que d'« intérêt commun » réservé à de « multiple minorités » bourgeoises dont les sujets tournent autour du « self-interest », et non plus de l'héroïsme épique du virginal Royaume-Uni.
Au XXIe siècle en observant l’ingénieuse construction, suivant le « principe de complétude », des « mailles du complet », car réel, « pouvoir politique bio politique » qu'il faut « légitimer en droit », on assiste, en Grande-Bretagne, au progrès continuel du genre humain vers la vérité, et triomphe incessant de la lumière sur les ténèbres, dans la construction et mise en œuvre d'idées philosophique émanant de l'« humanisme civique » d'intérêt général, suivant « les principes » du « droit politique bio politique », dans la « construction commune et publique » de divers « propositions » de contrat social « numérique bio numérique » pour tout le dual Royaume-Uni.

De même, en France, depuis 2010, grâce au déploiement de la télémédecine, on observe l'ingénieuse construction des mailles du complet « habit-habitat-haptique » du télécitoyen en « immersion haptique » dans notre territoire « numérique bio numérique » Français, qui peut se trouver être « télétravailleur » d'une société privée et « télépatient » de notre « duale médecine » Française. Télécitoyen qui peut se trouver être futur formateur en nutripuncture ou médecine quantique grâce au développement
de l'Art-Thérapie en télémédecine 3.0.

Constatation qui n'est pas nouvelle :
  • Edgar Wind (Hume and the Heroic portrait, Oxford, 1986) ;
Edgar Wind avait déjà, dans plusieurs articles, mis en lumière le rôle joué par Gainsborough et la philosophie de Hume, puis par des artistes américains comme Benjamin_West, dans l'ébranlement du « grand genre » et la sécularisation de la peinture d'histoire.

Tout récemment, le catalogue de l'exposition : « Triumph und Tod des Helden » (Cologne, Zürich et Lyon, 1987-1988) offre, avec une riche illustration, d'utiles mises au point sur la question (voir en particulier les essais de D. Irwin et de R. Rosenblum).

Mais Barrell veut aussi montrer que le public, comme toute personne morale ou entité quantique, se transforme au cours de l'examen.

Au sens positif et actif, le public :
se trouve être les voix essentielles de notre communauté de destin de citoyens libres, clairs « sur le plan conceptuel », adéquats « sur le plan scientifique », responsables « sur le plan sociopolitique bio politique », public qui suscitent et patronnent un art « exaltant les vertus civiques » émanant de notre « originelle virginale partie populaire » de notre actuelle « duale communauté de destin » de notre duale nation où citoyens et (((biopuces, citoyen(ne)))) mettent au point divers « prototype d'un langage universel » dans lequel « les deux groupes sociaux Acculturés » :
  • citoyen A (((biopuces, citoyen(ne)))) ;
peuvent se reconnaître.


Mais quand, à l'instar de la rencontre de l'ancienne force du fusil « vers 1500 de notre ère » avec de virginales cultures désarmées, la moderne force en « immersion haptique » dans le territoire « numérique bio numérique » :
  • en télémédecine « possesseuse » de modernes (((biopuces, citoyen(ne)))) Français(es) muni(e)s, un(e)-à-un(e), d'un appareil de « prothèse haptique », pour l'immersion, dans le respect de l'unité du territoire « numérique bio numérique » Français ;
se manifeste en 2010 dans notre "apparente" virginale culture nationale Française, soit-disant bornée à notre virginal État Républicain Français, à travers diverses légitimes « expérimentations locales » publique, grâce à une multitude de contrats (Ars, Télémédecine) digne de Hobbes, la nécessaire mobilisation des forces désarmées pour faciliter la révolution « numérique bio numérique » publique, dans le respect des principes du droit « politique bio politique », facilitant la transition « du secret à la transparence » de l'ancienne force de l'haptique :
  • « clandestine et hors-la-loi » en l'obscure bio médecine protéiforme duale société capitaliste et mercantile possesseuse d'ancien(ne)s (((biopuces, citoyen(ne)))) Français(es) muni(e)s, un(e)-à-un(e), d'un appareil de prothèse haptique, pour l'immersion, dans le non respect de l'unité du territoire « numérique bio numérique » Français ;
en instaurant, pour le « nouvel ordre social » public, le débat public sur le thème : « travail télé travail » des modernes et des ancien(ne)s (((biopuces, citoyen(ne)))), sans désagréger l'existant dual « corps social » pour faire richesse des possessions dites (((biopuces, citoyen(ne)))) au risque de légaliser l'esclavage, le vocable « public » revêt un sens négatif et passif :
  • la multitude dispersée de (((biopuces, citoyen(ne)))) Française ne semble plus qu'être un cybergroupe de cyborgs sans cohérence de riches « téléconsommateurs » qui peuvent, au mieux, jouir de la représentation des vertus morales privées.
L'essentiel de l'ouvrage étudie comment certains artistes « et/ou théoriciens » attachés à la tradition (académique) de l'« humanisme civique » ont essayé de la sauvegarder en l'adaptant aux nouvelles réalités :
  1. « politiques bio politiques » ;
  2. « économiques bio économiques »
  3. « culturelles bio culturelles ».
Pour ce faire, l'auteur a recours non pas tant aux œuvres qu'aux écrits de quelques grands peintres (Reynolds, Barry, Blake, Füssli et Haydon) et théoriciens (de Shaftesbury à Hazlitt) dont la pensée, souvent bien grise, se trouve être peu connue, il faut l'avouer, en-dehors de Grande-Bretagne.

Jusqu'à Haydon, les « peintres d'histoire » s'efforcent :
  • de mettre leur art « au service d'idéaux communs » ;
  • de « restaurer un consensus » dont la perte se trouve être ressentie avec nostalgie.
Au passage, Barrell combat certaines idées reçues, notamment celle d'un Blake « romantique », farouchement individualiste - dans lequel il voit, au contraire, le promoteur d'un art « pour tous », qui entend révéler à chacun « sa place » dans une société unifiée.

Il y a une grandeur virginale pathétique dans ce combat d'arrière-garde, qui se poursuit bien avant dans le siècle. Car si la multitude dispersée d'artistes tente de sauver, en théorie, l'idéal civique, celui-ci ne parvient plus à définir un style.

Peu à peu, la prétention, du discours pictural, à l'universalité s'efface au profit des intérêts particuliers.

Avec Hazlitt, la séparation est accomplie entre :
  • « république politique » propre à l'intérêt général ;
et :
Le « concepteur-réalisateur » se voit médiatiquement exilé de l'apparente « virginale commune numérique » où demeure potentiellement les conditions de possible homme démoli, télécitoyen, flanqué de femmes, télécitoyennes, vivants l'histoire d'o « clandestine et hors-la-loi » dans l'immatérielle « cité bio numérique », dite partie en « immersion haptique numérique bio numérique », imbriquée dans la « virginale commune que numérique » pour former la complète « duale cité », complète « duale cité » qui tel l'antique Empire Rœmain : « Il est battu par les flots, mais ne sombre pas ».

L'on est mûr pour la délectation morose d'artificiel « art pour art ».

Le débat pourrait être relancé au cours du 21e siècle :
  • les Pré ra pha ëlites de la société de la connaissance haptique ;
  • William Morris face à Oscar Wilde ;
Tout se passe comme si Hollywood avait sans cesse cherché à justifier l'art, à lui chercher une juste utilité publique.

Dans le contexte de la « troisième révolution industrielle » :
  • cause de toute « institution de duale nation » dans notre virginal monde, où il se trouve être question d'« instituer la partie » nationale « assemblant toute création et activité » nationales en « immersion haptique » dans le respect de l'unité du territoire « numérique bio numérique » national suivant les principes du droit « politique bio politique » de toute la duale nation ;
leurs idées artistiques se libères d'un état de dépendance, d'une sujétion juridique, se dégages d'une dépendance morale ou sociale comme des préjugés de leurs époque, mais...difficilement de leur philosophie « politique bio politique », car il faut « se conserver du voisinage » autour de soi (politique) comme en soi (bio politique), être libre « autour de soi comme en soi ».

Barrell estime qu'en France :
  • dont la duale société se trouve être traditionnellement présentée comme « féodale » :
    • « mais, pense-t-on par image ou par résultat pratique » ;
  • donc plus hiérarchisée ;
les « beaux-arts » s'adressent à l'état brut :
avec des arts plus ornés, digne de la méthode hagiographique, plaie des biographies littéraires et historiques, donc plus « détachés du contexte humaniste civique », les artistes veulent plus plaire que convaincre.

En fin de compte, cette démonstration, trop copieuse, ne conforterait-elle pas les « continentaux » que nous sommes dans une proverbiale « et incor- -rigible » brouillonne friponne futilité aux yeux de nos frères « iliens » d'Irlande comme du Royaume-Uni ?
« duale » philosophie
« politique & bio politique »
autour de soi comme en soi
 
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