Compréhension profonde_4
La transition : de l’occulte au révélé ; de l'existence
des systèmes Mottronique & des systèmes neuromorphiques
pour plateformes bio hybrides en République digitale

« Dépasser le grand partage entre
sciences de la nature et sciences humaines et sociales ».
Cela se trouve être le préalable à la grande conjonction entre
sciences de la nature et sciences humaines et sociales.
Acte fondamental, essentiel, pour notre concept peuple :
L'USAGE POLITIQUE
DE LA NOTION DE PEUPLE
CHEZ EDMUND S. MORGAN - MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN SOCIOLOGIE PAR MAXIME PLANTE-PÉLOQUIN - OCTOBRE 2017 - UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL - Service des bibliothèques.

Fondamentalement,
les idées formulées par les faits de l'expérience, le savoir issu des faits de l’expérience, les conceptions : déterminisme et causalité ; comme la dualité : déterminisme causal et physique quantique :
  • dont il a été implicitement question partout jusqu'à présent, en 2023, pour acculturer l'inexprimable mécaniquement Grand Public de notre territoire national, acculturer - disons-nous - les citoyens aux exprimables mécaniquement, deux voix, dits cyborgs, de toute évidence membres de droit de la société de la connaissance ;
étaient les mêmes avant même La transition : de l’occulte au révélé ; de la :


Maintenant, nous pouvons tous facilité l'étude critique publique de :


ainsi que :


Ces conceptions, en 2023, publiques, pour nous le grand public de notre Ancienne République Digitale, été faites, jadis - compte tenu du Grand Partage - Indépendamment de la nature des objets :
  • matériels ou immatériels,
  • inertes ou vivants,
  • e-citoyen non-exprimable mécaniquement, dit une voix 
    ou
    (((biopuces, citoyen))) exprimable mécaniquement, dit : deux voix ;
malgré qu'ils soient tous toujours partout, en immersion haptique digitale cognitive sur le territoire numérique national électromagnétisé dans la nappe haptique mondiale, la datasphère, du domaine réel.

De la démocratie au XXIe siècle! Toute civique patriote, donc témoin de la publique révolution cognitiviste, mais qu'en république digitale, s'en trouve être fort heureuse qu'il en soit question en public.
Le peuple souverain dans la démocratie et la République doit faire son devoir - exprimer en public toute sa compréhension de la situation particulière, commune, générale - c'est un fait. Faisons ça ensemble!

Pouvoir médical et fait du Prince au début des temps modernes - maintenant avec La rationalisation du travail d’ingénieur d’études dans les organisations publiques - facilitent-ils en public :
  • in posse, en puissance de réaliser la chose ;
  • in fieri, la chose en formation ;
  • in esse, en l'existence de l'essence (étant) -
    toute la structure d’intelligibilité de l'étant - de la chose - ;
le cinetisme d'une masse critique adéquate de civiques citoyens actifs envers des décideurs constitutionnellement élus?

Citoyen patriote, il peut paraitre étrange, à ce stade, d'avoir à éclaircir ce que l'on peut entendre en utilisant les vocables cyborg ainsi que androïde.
Mais il ne faut pas confondre ces vocables.

Un cyborg est un humain augmenté ayant comme tout un chacun un père humain ainsi que une mère humaine.

Un cyborg se trouve être un humain exprimable mécaniquement, c'est un deux voix.

Un cyborg a deux voix. Sa voix naturelle endogène...
Bénéficie de l'apport de simili voix digitalisées des colocataires...
Colocataires de son habit-habitat-haptique dit H3...
H3 étant son interface neuronale directe...
Sa voix artificielle - sa simili voix - est donc exogène...

Un androïde se trouve être une œuvre artificielle, parfois intelligente, construite industriellement par au moins un humain.


Nous allons, maintenant, toujours dans le domaine réel : commun, juridique, scientifique ; aborder une autre manière, un autre style, de concevoir l'explication des phénomènes humains augmenté, ou non, et par-dessus tout cybersociaux - plus que tout le reste.


et


L'Idée de base :
  • les Hommes (non appareillés de machines inductives modernes) n'agissent pas (ou pas seulement) selon une causalité mécanique.
au contre-exemple du  Manifeste cyborg :
induire, aux moyens d'artifices bio inspirés :
induire par une œuvre de pensées ;
un processus interne, dans l'autre,
pour transformer, dans l'autre, l'état interne, de l'autre,
pour obtenir, de l'autre, un comportement externe intentionnel, par soi :
une expérience du terrain ; de l'autre, par l'autre, mais de soi,
par ubiquité, et effets d'ubiquité,
dont la relation : stimulus-réponse ; serait un exemple type...

Ainsi, convenons que, par construction :
l'homme - sujet-de-droit & avatar e-citoyen -
est non-exprimable mécaniquement ;
donc, n'est ni aboutissant ni tenant, au sens de cyborg ;
alors que
l'«homme augmenté» se trouve être - par construction -
un corps sujet-désirant rayonnant :
  • soit possédé par un autre humain augmenté ;
  • soit possédant un autre humain augmenté ;
corps sujet-désirant rayonnant, tous deux, exprimables mécaniquement.

Mais, les humains agissent avec des intentions
en donnant, ainsi par ce fait, une signification,
à la fois, à l'environnement, hôte de leurs actions, et aux actes.

Ils présentent, inconsciemment ou non, leur représentations :
de la nature - expriment en public toute leur compréhension de la situation particulière, commune, générale -
et leurs idées particulières de leurs position, statut, rôle,
dans notre environnement animal civilisé,
à l'exemple de :
  • champ : spectral électromagnétique ;
  • frontière : du champ électromagnétique ;
  • fonction : gardien de ce qui doit être fait dans l'intérêt général ;
  • responsabilité : garant du bon fonctionnement de l'administration ;
en sui generis citoyen non-exprimable, ou exprimable, mécaniquement.

Nous abordons, maintenant, une partie du projet de stylisation
des phénomènes
: sciences humaines ; comme mécanisme de défense
du complet peuple, où réduire l'homme : animal humain civilisé ; à un simple moyen de traitement d'informations artificielles exogènes et naturelles endogènes, par tabula rasa : c'est-à-dire, réduction dans notre expression sensoriel :
  • reduction in our sensory experience ;
    page 173 du livre
    Quantifying Human Information Processing ;
nous ferait passer alors à côté des phénomènes les plus importants et les plus intéressant pour notre entier peuple, assemblé dans notre entière communauté de destin, où tout un chacun peu vivre son entière vie sociale, avec toute sa rationnelle raison sociale...

Les notions d'intention, justification et de signification :
  • centrales pour tous les peuples
    selon cette conception Rousseauiste ;
n'ont évidemment aucun équivalent dans les sciences de la nature - ce qui introduirait une différence radicale entre - les sciences de la nature - et - les sciences de l'homme.

Nous observons bien qu'admettre ce point de vue entraîne des conséquences qui vont beaucoup plus loin que le simple choix entre deux systèmes explicatifs.

Admettre entraîne la reconnaissance de l'existence du gain et des jeux du projet de stylisation des phénomènes : biophysique-chimique ; en holocybernétique de la psychosociologie, Dieu nous garde des
et cætera de notaires – Et des quiproquos d’apothicaires !

Admettre entraîne la possibilité d'avoir un entier saut conceptuel,
non réduit au territoire numérique national
car incluant le territoire cognitif national :
Les dimensions sociales de la cartographie cognitive
The social dimensions of cognitive cartography


Saut conceptuel constitué par la transition ou le passage :
  • du darwinisme, réduit au fait du plus fort particulier augmenté ;
  • au rousseauisme, étendu au droit positif du particulier augmenté ;
de la complète nouvelle nation ionisée-ionisante dans
la nappe haptique mondiale.

On se heurté, jadis, à des problèmes (de méthodes) fondamentaux
pour les mécanismes de défense du complet peuple
entre :
  1. les sciences de la nature ;
  2. les sciences humaines ;
et c'est, en 2023,
la nature même des connaissances (auxquelles on peut espérer aboutir)
qui diffère.


Un exemple capital :

Le meurtre de la vieille dame

Ci-dessus, nous avons écrit que :
c'est la nature même des connaissances (auxquelles nous pouvons espérer aboutir) qui diffère.

Criminalistique et criminologie entre science occulte et science révélée.

Pour donner une première idée de ces différences, nous prendrons l'exemple classique pour introduire ces problèmes, l’affirmation banale :
« Il a tué la vieille dame pour la voler »
ou
« Il a réduit la vieille dame pour la voler ».

« Il a réduit la vieille dame à l'état de corps nu, afin qu'elle soit
sans expérience sensorielle, sans conscience, pour voler le biocontrôle
de l'enveloppe corporelle de la vieille dame, en faire usage par télé-biocontrôle ».

« Il a réduit la vieille dame aux moyens d'artifices holocybernétiques, du genre interface neuronale directe, pour obtenir un effet comparable à celui obtenue avec un caisson d'isolation sensorielle ».

Ces affirmations banales sont, chacune, une explication, selon
un point de vue :
  • d'une culture de citoyen patriote non exprimable mécaniquement ;
  • d'une culture de citoyen patriote exprimable mécaniquement ;
tout à fait vraisemblable et raisonnable du meurtre moderne et ancien
sur le territoire numérique national électromagnétisé.

Mais comment justifier l'explication?

Nous savons qu'une conception de l'explication :
  • assez généralement acceptée dans les sciences de la nature ;
consiste à montrer que l'on peut déduire le phénomène, à expliquer :
  1. des lois générales et naturelles qui régissent le phénomène ;
  2. des conditions particulières de réalisation
    dans lesquelles le phénomène est apparu ;
conditions qui donnent les valeurs des paramètres de ces lois.

Ce schéma peut-il s'appliquer à notre exemple?

La conjonction : loi générale et naturelleentraîne le Darwinisme
(le fait du plus fort particulier augmenté) ;
les deux normes suivantes, qui sembleraient s'appliquer :
  • « Chaque fois qu'une vieille dame peut être volée, on la tue. »
et
  • « Chaque fois qu'une vieille dame peut être volée, on la réduit. »
sont manifestements fausses, en république numérique française, au moins sous forme générale.

En effet, il faudrait leur ajouter un très grand nombre de spécifications irréductibles qui en réduisent la portée.
Exemples :
que les circonstances interactionnelles soient favorables à l'assassin ;
que les circonstances stochastiques soient favorables à l'assassin ;
que les circonstances rétroactionnelles soient favorables à l'assassin ;
que l'assassin ait certains besoins sociaux ;
que l'assassin ait certains besoin culturels ;
que l'assassin ait certains besoins économiques ;
que l'assassin ait certains traits de personnalité ;
que l'assassin ait certaines normes ;
que l'assassin ait certaines prérogatives entachées de
la Lacune : l’intention libérale ; de La libéralité introuvable ;

Dieu nous garde des et cætera de notaires – Et des quiproquos d’apothicaires !

La liste serait très longue, mais jamais assez longue, dépassant largement ce que criminalistique et criminologie, toujours entre science occulte et science révélée, peuvent proposer - aux autochtones du territoire numérique national - comme connaissance sur le sujet.
Mais, nous, la foule du peuple, on peut admettre que ce type d'explication est en principe possible, ne serait-ce qu'en s'appuyant sur des lois statistiques, des régularités : biophysiques-chimiques ; qui laissent de la marge à l'intervention de facteurs inconnus : Ex-Territoriaux !

Toutefois, il est fort probable que l'on n'ait pas tout cela en tête
lorsqu’on propose, ou accepte, une telle explication.
Mais n'est-ce pas simplement parce que la pensée quotidienne,
dite banale, est moins exigeante que la pensée scientifique,
qu'elle se contente d'approximations moins bien construites,
qu'elle se soucie moins d'expliciter ses présupposés (observations et hypothèses)?

Pour considérer l'énoncé : mis en question ; comme étant une explication, il faut bien avoir quelques idées générales, même brouillardeuses, des codes, des standards, des normes, qui régissent.
Et même si on n'est pas capable de s'appuyer sur toutes les lois : statistiques ; les régularités : biophysiques-chimiques ; générales,
nécessaires pour une explication précise, on peut toujours tenir compte
de corrélations, de régularités statistiques qui montrent une dépendance partielle, intermédiaire, mais bien réel,
entre le meurtre et le vol.

En fait, la plupart des lois des sciences humaines et sociales sont de ce type : probabiliste.

Le calcul des probabilités est né au 17ème siècle.
Pascal (1623-1662) Fermat (1601-1665) l'ont créé.
Une, de ses applications, est la statistique mathématique.
La science des répartitions cherche à dégager des régularités, des lois, caractérisant le comportement de grands ensembles.
Ces ensembles étant le siège de phénomènes aléatoires,
on entend bien que
la théorie des probabilités donne un modèle
de comportement de ces phénomènes.

Ce sont des relations statistiques qui souffrent donc de nombreuses exceptions.



Ces relations sont actives, utiles, fonctionnes et facilites bien des choses,
car, de toutes façons, on ne dispose pas de relations plus rigoureuses, rationnelles, mais on se heurte à de grandes difficultés lorsque il s'agit de rendre compte d'événements uniques.

Ce n'est pas à cause du fait qu'il est fréquent que,
lorsque l'on tue une vieille dame,
cela soit pour la voler, que l'on peut affirmer que
c'est, en l’occurrence, le cas, dans le cas particulier
que l'on met en question pour l'expliquer, en rendre compte.
Sinon : comme Grotius vs Rousseau ; on prend l'effet pour la cause.


Ces relations, dans les cités du théâtre :
  • politique,
  • scientifique,
  • industriel,
qui souffrent de nombreuses exceptions, existent,
et,
c'est ce que préconiseront ceux qui soutiennent que
les sciences de l'homme : la souris bottom-up ;
doivent adopter le même idéal scientifique que
les sciences de la nature : le serpent top-down ;
avec pouvoir médical et fait du prince,
et,
donc les mêmes méthodes,
et,
ceci, pour aboutir à des connaissances du même type,
s'exprimant sous la forme de lois, aussi générales que possible.

Complexité, hasard et contradiction, sont à l’œuvre.
Observons bien que le serpent top-down a pour origine l'occulte,
et est révélé depuis le déploiement de la télémédecine en 2010.
La souris bottom-up se trouve être d'origine révélée,
depuis Chrysalide (site, forum, wiki) d'associations loi 1901.
Les laboratoires sont passés, eux, de l'occulte au révélé,
depuis les déferlantes nano des années 2000.

Mais, ceux qui soutiennent que les sciences de la nature doivent s'unir aux sciences de l'homme, ont des adversaires.

Les adversaires avancent une objection fondamentale,
qui va bien au-delà de la simple constatation que
il est bien difficile, aux grand public, de formuler explicitement
les conditions dans lesquelles :
  • on tue
ou
  • on réduit
une vieille dame pour la voler.

L'explication : mise en question ; introduit l'« intention »
qui a provoqué le meurtre.

Or, comment la connaît-on?

Que ce soit, dans les cas particuliers, dans la constatation
de régularités statistiques, ou dans des lois plus précises,
les cas communs ou les cas généraux, on observera, au mieux,
que des coïncidences
entre
  • le meurtre, en république numérique
ou
  • la réduction (meurtre moderne),
    en république cognitive en immersion haptique
et les vols.

Par des biotechniques appropriées, en holocybernétique, nous pourrons constater que l'assassin :
  • a tué la vieille dame ;
ou
  • a réduit la vieille dame ;
et qu'il l'a volée.

Mais, relier ces deux constatations :
  1. meurtre ou réduction
  2. vol
par la préposition : pour ; relève de l'« interprétation »,
et donc ne peut être justifiée par aucune perception :
  • T.C.C.
  • T.C.D.
  • T.C.Q.
des biotechniques cognitives :
D'ailleurs, l'interprétation par l'« intention » reste vraie même si le vol, après meurtre ou réduction, n'a pas eu lieu ;
car l'assassin a pu être dérangé et s'enfuir ;
ou l'assassin a pu changer d'avis.

Nous ne disposons donc même pas nécessairement de cette perception pour inférer l'intention.

Certes, et cela peut arriver, l'assassin peut reconnaître que c'est pour la voler qu'il l'a tué ou réduite, mais rien n'impose de croire le dit (qui émane de l'enveloppe corporelle) de l'assassin présumé,
et,
on sait bien le rôle que peuvent jouer des motivations inconscientes endogènes ou
intentionnelles exogènes sur le territoire cognitif.

Quand on se trouve être influençable cognitivement, comment être sûrs
de ce que l'on sait?

Cette question hante les humains depuis qu'ils s'en posent...

La notion d'« intention » est donc, en même temps,
indispensable et imperceptible.

Pour reprendre un vocable de la méthodologie expérimentale,
l'
« intention » n'est pas opérationnalisable.

Mais, on a besoin de recourir à un concept
qui décrive l'orientation des comportements.

Selon les contextes, on utilisera d'autres vocables :
intérêt, raison, objectif, motivation ;
qui ont des connotations très différentes mais
qui remplissent la même fonction : désigner ce vers quoi tend l'acteur.

Remarquons toutefois que, si les cybersociologues insistent sur
l’impossibilité ou la difficulté de connaître empiriquement les intentions,
les psychologues s'en accommodent mieux.

La notion de motivation est utilisée depuis longtemps
dans la psychologie la plus behaviouriste.

Il faut remarquer, toutefois que, dans une situation expérimentale,
la difficulté de connaître l'intention, est contournée, en partie,
par le fait que la motivation, ou l'objectif, n'est pas perçue ou inférée
mais assignée par la consigne.

On admet, de ce fait, que l'intention du sujet d'une expérience est de faire ce que l'expérimentateur lui demande de faire.
On admet cela, même si les recherches sur la psychosociologie de la situation ont montré que d'autre facteurs ou objectifs pouvaient aussi intervenir.
Mais, le défi, reste entier de connaître les intentions de ceux que l'on perçoit.

Ceux qui se veulent les plus rigoureux, et les plus attachés à l'unité de la démarche scientifique, en concluent que le recours aux intentions ne peut pas se faire de façon satisfaisante.
Le recours est entaché de mentalisme, et que cela entraîne que ce type d'explication doit être rejeté comme étant impossible à mettre empiriquement à l'épreuve de l'empirisme.

Nous observons que :
aucune expérience empirique, ou simple perception sensorielle ;
aucun recours à une loi générale, sérieusement établie ;
ne pourront justifier : de dire ; que c'est, en l’occurrence, pour la voler
que l'assassin a tué (ou a réduit) la vieille dame.

Il faut donc recourir à un autre type d'explication.
Type d'explication associant l'acte à ses conditions de réalisation,
et tenter de trouver les lois générales, lois qui régissent les relations
entre
l'acte et ses conditions, et cela sans passer par les intentions.

La théorie des trois enveloppes :
  • corporelle, psychique, cybersociale ;
offre une de nos représentation publique de tout individu.

Convenons que l'intention, de l'individu, se trouve en grande partie dans l'enveloppe psychique, de l'individu.

Convenons que les deux enveloppes :
  • corporelle ;
  • cybersociale ;
représentatives de l'individu, peuvent partiellement être considérées
comme étant porteuses des sources de lois,
lois exprimant les potentiels de forces de l'individu,
lois associant l'acte aux conditions de réalisation,
par la mise en évidence de circuits
  • de transformations ;
  • de combinaisons ;
qui répondent aux besoins, aux envies,
et qui respectent l'équilibre comme le développement de l'individu,
et donc l'« intention » de l'individu.

Convenons que cela ressemble à des exploits exécutés par nos héros Héraclès ou Hercule ou Asterix sur l'ordre de proto-peuples mythologiques, tels ceci :


Le point-de-vue complémentaire, qui se trouve être le point-de-vue de notre partie autochtones de notre territoire national électromagnétisé,
le point-de-vue des non-exprimables mécaniquement en république numérique dans la nappe haptique digitale cognitive, la Datasphère, mondiale, c'est-à-dire, le point-de-vue de ceux qui ont qu'une seule voix naturelle, c'est-à-dire, le point-de-vue complémentaire républicain, le point-de-vue de notre base-mère, notre moderne matrice française, donc, doit être public pour faire remarquer à son propre grand public de son propre complet peuple, « qu'il (notre complet peuple) peut être assemblé », pour être constituant et vigilant, le point-de-vue complémentaire doit être public pour faire remarquer qu'il (le peuple) comprend que du seul fait que notre peuple complet est toujours, partout, dual :
  • exprimable mécaniquement ;
  • non exprimable mécaniquement ;
nous, citoyens patriotes (donc témoins) -- et en tant que chercheur --
admettant que les hommes n'agissent pas selon une causalité mécanique
--
convenons que notre relation à l'objet de recherche : autochtone ; est différente
de notre relation - que nous pouvons avoir - avec tout schizophrène artificiel - exprimable mécaniquement deux-voix - « corps sujet-désirant singulier-pluriel rayonnant », dit cyborg - cars tout télépatients sont toujours partout des citoyens patriotes
(donc témoins), mais - exprimables mécaniquement - donc variables :
  • corporellement ;
  • psychiquement ;
Télépatients comme patients sont des Duaux « Objets-Sujets » d'études des sciences empêchées :
de la nature - des sciences exactes - des sciences de la pensée ;
c'est l'Office Français de l’Intégrité Scientifique (OFIS), c'est l'intégrité scientifique de ceux qui accueillent ou préparent ces colloques, qui jadis furent singuliers, qui fait la différence.
  • Toujours dans l'instant
    comme tout être étant
    étant homme nous-même
    nous avons un accès
    particulier
    à la compréhension des actions
    autour de soi comme en soi.
  • Toujours dans l'instant
    comme tout être étant,
    étant homme nous-même,
    nous pouvons nous identifier
    au Duaux Objet-Sujet
    que nous étudions
    et
    le comprendre directement.
La question :
qu'aurais-je fait, à sa place, dans de telles circonstances? ;
a un sens pour un sujet-désirant humain étant, nous pouvons y répondre
(correctement ou non c'est un autre défi)
alors que la question : ci-dessus ;
n'a aucun équivalent pour un électron libre : aboutissant-décodeur ; ou une cellule vivante : groupe opérant (relai encodeur-décodeur) dans un aboutissant-décodeur.

C'est notre devoir de citoyen patriote d'incarner et d'affirmer en publique
la vérité du fait que nous comprenons que
  • l'objectif des sciences humaines
    est de comprendre
    les actions
    des agents libres : libres de toute influence ; donc étant,
    agissant
    dans des conditions déterminées.
C'est notre devoir de citoyen patriote d'incarner et d'affirmer en publique
la vérité du fait que nous comprenons que
  • l'objectif des sciences spécifiquement cyber sociales
    est de comprendre
    les conséquences
    de ces actions.
Traiter les faits cyber sociaux comme des choses,
choses modelés par les faits et capable d'être remodelés par les faits,
c'est être conscient de deux émergences immédiates :
  1. le chercheur se trouve être un humain
    au même titre que ceux qu'il étudie ;
  2. l'animal humain civilisé est plus qu'un simple
    organisme physio-logique (au moins telle que nous connaissons actuellement la physiologie), 
    l'animal humain civilisé est plus qu'un simple tabula rasa...un corps nu permettant la mise en chaire des métaphores (œuvres de pensées) de l'encodeur- tenant toujours dans l'instant comme tout être étant.
Par contre, Durkheim préconisait :
Traiter les faits sociaux comme des choses.

La différence entre ces deux conceptions est que Durkheim
cherche l'explication dans le passé,
c’est-à-dire dans
les stimuli,
les conditions, qui précédent l'action,...qu'ils y avaient avant...l'action.

Et l'autre, au-dessus,
cherche l'explication dans l'avenir,
c'est-à-dire, dans les conséquences attendues...de l'action.

Ce dernier point gêne parfois, car il ressemble aux explications finalistes (téléologiques).

Mais, à la réflexion, ce n'est pas la même chose.

Il n'est, en effet, pas acceptable d'expliquer le présent par le futur.

Toutefois, supposer que des individus agissent en fonction d'intentions,
c'est expliquer leur conduite en fonction d'une caractéristique présente :
  • la représentation, qu'on se fait du futur,
    est un trait de l'idée de la réelle situation actuelle ;
et c'est maintenant que l'acteur a une intention,
et il l'a ici
quel que soit le résultat de son action.

En ce sens, on peut dire que l'intention peut bien être considérée comme une cause du comportement.

La principale difficulté réside dans la possibilité de la connaître, l'intention.

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